Notre stagiaire Lou Bodineau a publié son livre Balade au coeur d’une vallée, fruit d’un important travail de collecte et de rédaction sur notre belle Durdent.
Après la remise officielle des ouvrages aux délégués du syndicat nous vous informons que l’ouvrage est disponible sur commande (participation aux frais d’impression au prix coutant).
Nous vous invitons à nous contacter au 02.35.57.92.30
La seine maritime a été placée en vigilance orange pluie / inondation pour la journée du mercredi 8 janvier par Météo France.
Nos équipes étaient sur le terrain pour surveiller les ouvrages et vérifier le bon fonctionnement de ceux-ci.
Notre parc d’ouvrage a bien fonctionné, permettant ainsi de stocker et tamponner les ruissellements reçus avant de les restituer progressivement.
Sur notre territoire, entre le 2 janvier et le 9 janvier un total de 102 mm a été relevé. Autant de pluie que nos bassins ont recueillis afin de protéger les personnes et les biens.
Digues des barrettes amont (Neville) 24h après l’évènement
Digue des barrettes amont (Neville) vide après l’évènement
Bassin d’Hautot Saint Sulpice
Digue de Clermont (Saint Valery en Caux) pendant l’évènement
Digue de Clermont (Saint Valery en Caux) 24h après l’évènement
Digue de Clermont (Saint Valery en Caux) presque vide après l’évènement
La Vallée de la Durdent est reconnue comme une grande zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II portant le même nom. Cette zone couvre 7182 hectares et contient plus de 20 ZNIEFF de type I, plus petites et localisées.
Les ZNIEFF ont pour but d’identifier et inventorier la biodiversité sur l’ensemble du territoire national. Il existe deux types de ZNIEFF :
Les ZNIEFF de type I : espaces écologiquement homogènes, définis par la présence d’espèces ou d’habitats remarquables ;
Les ZNIEFF de type II : d’envergure supérieure, ensembles naturels concentrant davantage de biodiversité que les milieux autours (MNH & OFB)
Pour plus d’information, le lien ci-dessous vous donne accès à la page internet de l’INPN à propos de la ZNIEFF de type II La Vallée de la Durdent. Dans l’onglet « Liaison écologique avec d’autres ZNIEFF », vous trouverez les ZNIEFF de type I qu’elle contient.
Parmi ces dernières figurent La Basse Vallée de la Durdent, La Prairie humide du Faucard, La Ripisylve de la Durdent à Cany, La source de la Durdent et la cressonnière, La Vallée du Vert Buisson, La zone humide des deux moulins à Grainville-la-Teinturière, Le bois de la Vallée, Les ballastières de Cany, Le Marais du Hanouard, Les prairies humides de Gréaume, etc…
A Grainville-la-Teinturière, le Bois de la Roquette a été reconnu comme zone spéciale de conservation (ZSC) par arrêté de création du 26 décembre 2008 et s’est alors vu attribué le statut de Site Natura 2000.
Les sites Natura 2000 constituent des outils de la Directive Européenne Habitats Faune Flore et la Directive Oiseaux de 2000. Ces politiques œuvrent pour la protection d’un grand nombre d’espèces et d’habitats dont les noms figurent en annexe des Directives. Le réseau de sites Natura 2000 regroupe plus de 27 000 sites en Europe et plus de 1700 en France en 2017 (OFB).
Le bois de la Roquette s’étend sur 3,54 hectares de forêts caducifoliées et représente un intérêt écologique surtout pour les espèces de chauves-souris qui trouvent refuge dans ses cavités et ses grottes. Les espèces de chiroptères présentes sur le site et inscrites à l’annexe 2 de la Directive Habitats sont : la Barbastelle d’Europe, le Grand et le Petit Rhinolophe, le Grand Murin et le Murin à oreilles échancrées (Muséum National d’Histoire Naturelle, 2023).
Depuis quelques temps, le Chemin des Sources à Héricourt-en-Caux s’altérait petit à petit en raison de l’érosion de la berge rive droite de la Durdent sous l’action du cours d’eau. En effet, une partie du sentier menaçait de s’effondrer, emportant avec lui la clôture qui le bordait.
L’opération consistait en l’abattage de trois arbres, le débroussaillage, le terrassement de la berge en pente douce et la pose d’une clôture en rive gauche, ainsi qu’en la dépose du grillage et la réhabilitation de la berge en rive droite.
La Durdent et le Tourterou, bras de détournement de la Durdent à Grainville-la-Teinturière, ont fait l’objet d’une opération de restauration de berge durant l’année 2022.
En 2021, le SMBV Durdent a recruté une stagiaire, Lou Bodineau, dont le thème portait sur la restauration de berges de la Durdent et du Tourterou sur la commune de Grainville-la-Teinturière. Alors, un dossier réglementaire à été déposé à la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM) afin d’obtenir les autorisations nécessaires à la réalisation du projet de restauration. Ce dernier proposait l’arasement d’un merlon de curage sur la berge rive droite de la Durdent partant du pont d’entrée des Basses Eaux jusqu’à la naissance du Tourterou, 250 mètres en aval, et la réhabilitation de la berge rive droite du Tourterou jusqu’au terrain de pétanque de la commune. Le tout représentait un linéaire d’environ 400 m.
En effet, la première partie du projet avait pour ambition de supprimer le merlon de curage dans le but de permettre la reconnexion de la rivière avec sa plaine inondable attenante et ainsi de profiter des fonctionnalités de la zone humide, notamment en termes d’infiltration de l’eau et de régulation des crues.
Quant à la seconde partie, elle visait à supprimer les embâcles, à entretenir la végétation et à interrompre la succession naturelle de la ripisylve (qui tendait vers une forêt) par sa réouverture afin d’améliorer l’écoulement du ruisseau et de favoriser le retour d’une flore diversifiée.
À la suite des travaux, un sentier pédestre a été aménagé le long du ruisseau. Inauguré en mai 2022, il permet alors la liaison entre le site pédagogique des Basses-Eaux et le centre du village. Des zones de repos équipées de bancs en bois ont été agencées pour profiter d’un moment de calme et de sérénité au bord de l’eau.
Après la reprise de la végétation, une gestion dite différenciée, encourageant la diversité biologique, a été adoptée. Seuls de petits sentiers sont tondus pour permettre la promenade et le reste de l’espace est dédié à l’expression spontanée de la biodiversité.
Dans le monde, l’un des premiers groupes faunistiques les plus menacés d’extinction constitue la classe des Amphibiens. Selon la liste rouge des espèces menacées de l’Union International pour la Conservation de la Nature (UICN), 41% des espèces d’Amphibiens sont en danger d’extinction dans le monde (The UICN Red List of Threatened Species, 2021) et 8 espèces sur 35 le sont également en France métropolitaine (UICN France, 2015).
Les Amphibiens sont particulièrement touchés par les menaces de disparition en raison de leur dépendance au milieu aquatique pour l’accomplissement de leur cycle de vie et leur conséquente exposition aux pressions de cet environnement, en plus de celles exercées sur le milieu terrestre.
Les causes de leur déclin sont principalement la conversion et destruction d’habitats, le réchauffement climatique, la pollution, les espèces exotiques envahissantes (par exemple le Xénope lisse, Xenopus laevis) et les maladies (par exemple le champignon chytride, Batrachochytrium dendrobatidis).
En Normandie, le Sonneur à ventre jaune est en danger critique d’extinction et le Triton ponctué est en danger d’extinction. Huit autres espèces sont classées vulnérables, dont la Grenouille rousse, le Triton crêté ou encore la Salamandre tacheté. Enfin la Grenouille verte et la Grenouille de Lessona sont presque menacées (Agence Normande de la Biodiversité et du Développement Durable, 2022).
Vous pouvez consulter la Liste Rouge des Amphibiens de Normandie ici.
Aujourd’hui, toutes les espèces d’Amphibiens sont protégées nationalement. Ainsi, l’arrêté du 8 janvier 2021 fixe les interdictions relatives à ces organismes. Par exemple, pour un grand nombre d’Amphibiens cités dans l’article 2, « la destruction ou l’enlèvement des œufs et des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l’enlèvement des animaux » ou la « perturbation intentionnelle des animaux pour autant que la perturbation remette en cause le bon accomplissement des cycles biologiques » sont interdits (Légifrance, 2021). Ces actions sont passibles de 3 ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende.
En raison des menaces qui pèsent sur les Amphibiens, de plus en plus d’actions en faveur de leur protection et de celle de leurs habitats sont menées. Parmi celles-ci figurent l’amélioration des trames bleues, la création ou la restauration de mares ou encore la mise en place de batrachoducs (aménagements pour permettre la traversée d’axes routiers).
En raison de l’accroissement de l’urbanisation, de l’artificialisation des sols et de l’intensification des pratiques agricoles, de nombreux espaces naturels et habitats pour la faune et la flore sont réduits, fragmentés ou même détruits. De ce fait, le déplacement des espèces, vital pour leur recherche de nourriture, leur mode de vie et leur reproduction, devient de plus en plus difficile à travers des matrices artificielles. De plus, du fait du changement climatique, de nombreux groupes floristiques et faunistiques tendent à migrer vers le nord pour se maintenir et s’adapter au climat. Dans le contexte actuel de l’érosion de la biodiversité, d’avantage d’espèces animales et végétales sont amenées à s’éteindre si aucune action n’est réalisée pour favoriser leurs mouvements.
Alors, la politique Trame verte et bleue, instaurée à la suite de la mise en place du Grenelle de l’Environnement en 2009, constituent un outil fondamental à la reconquête de la biodiversité en optimisant les déplacements des espèces. Les trames désignent des continuités écologiques aussi appelées corridors écologiques qui relient des réservoirs de biodiversité entre eux. La trame verte concerne les espaces terrestres et la trame bleue est relative aux milieux aquatiques. Moins populaires et pourtant tout autant essentielles, les trames brunes (ou marrons) et les trames noires se rapportent respectivement aux continuités du sol et à celles de l’obscurité.
Par conséquent, depuis la mise en œuvre de cette politique, les collectivités (régions, départements, intercommunalités…) ont pour mission d’identifier et de recenser les continuités écologiques de leur territoire afin d’établir un programme visant à les améliorer et à en créer davantage pour augmenter les déplacements des espèces ainsi que leurs chances d’adaptation et de migration face aux effets du dérèglement climatique. Par exemple, la plantation de haies ou la création de réseaux de mares, contribuent à cet objectif.
A l’instar des trames vertes et bleues bien intégrées dans les politiques et les documents d’urbanisme, la création d’une trame noire est encouragée dans les milieux urbanisés afin de diminuer l’incidence des éclairages publics et privés sur les espèces telles que les hétérocères (papillons de nuit), les lucioles, les chauves-souris et autres mammifères.
Définie par une certaine obscurité, la trame noire a pour objectif de permettre les déplacements des espèces nocturnes et ainsi d’optimiser la chasse, la reproduction et le brassage génétique entre les populations, indispensables à leur survie.
En France aujourd’hui, plusieurs territoires travaillent à l’élaboration de cette trame noire dont par exemple les Métropoles de Lille, Limoges, Bordeaux, Nantes, Rennes mais aussi les Parcs Nationaux des Cévennes, du Mercantour, des Pyrénées ou encore de Port-Cros (Office Français de la Biodiversité, 2021).
L’AREAS propose une formation suivie d’une visite de terrain sur le thème : « Influence des pratiques culturales sur le ruissellement et solutions techniques », le mardi 3 octobre de 9h à 16h30 dans nos locaux à Cany-Barville.
Au programme :
Matinée en salle : Influence des systèmes de culture et des pratiques culturales sur les états de surfaces du sol, conséquences en termes de risque de ruissellement/érosion et solutions techniques
Après-midi : visite de ferme près de Cany pour voir du matériel agricole, et des parcelles pour observer l’effet des pratiques agricoles sur l’état de surface du sol
Vous pouvez vous inscrire sur : https://forms.gle/qCxHALKM5xfgjEK47 Les formations de l’AREAS sont gratuites et destinées en priorité aux collectivités de Seine-Maritime et de l’Eure.
L’EARL d’Erneville a rencontré des problèmes d’érosion récurrents sur un îlot cultural de 42 ha. En effet, l’îlot en question présente une double pente occasionnant un grand nombre de ravines, des coulées de boues sur une route communale puis sur une voirie départementale. Ces parcelles surplombent également un passage d’eau primaire du bassin versant de Veulettes en amont d’un ouvrage structurant du SMBV.
Erosion sur la partie basse de l’îlot et le talweg principal
Après avoir contacté le syndicat, un diagnostic sur le terrain a été nécessaire. Il a ensuite été décidé d’intervenir sur trois niveaux:
réaménager le parcellaire de l’îlot,
collecter les ruissellements jusqu’à une zone tampon,
maintenir en herbe le passage d’eau stratégique.
Un réaménagement parcellaire nécessaire
L’une des premières réflexions s’est portée sur le sens de travail de la parcelle. Il a ainsi été décidé ensemble de modifier l’orientation des parcelles pour qu’il se fasse perpendiculairement à la ravine principale ; elle-même en travers de l’îlot. Afin de limiter les transferts de l’amont vers l’aval, deux haies anti-érosives ont été implantées pour un linéaire cumulé de 1320 ml. Les contraintes d’exploitation ont pu être intégrées en laissant un espace multiple de la largeur du pulvérisateur de l’exploitation entre les deux aménagements. Un calage au GPS a permis de définir précisément l’emplacement des haies.
Collecter les ruissellements jusqu’à une zone tampon
Les ruissellements de l’îlot se déversaient sur la route communale transférant les coulées de boues jusque la route départementale en contre-bas. Ainsi, l’exploitant agricole a accepté de réaliser en bordure de sa parcelle une noue enherbée sur 4 m de large et 435 m de long. Cet aménagement permet de gérer les ruissellements de sa parcelle engendrés par les pratiques culturales employées. Ainsi, l’exploitation a porté l’autofinancement du projet à hauteur de 20 % des coûts de travaux. Pour garantir la fonctionnalité de la noue dans le temps, une haie anti érosive a également été mise en place en latéral permettant d’éviter la sédimentation dans l’ouvrage.
Noue enherbée sur 4 m de large et 435 ml
Le syndicat a ensuite financé les terrassements pour optimiser une zone tampon le long de la route départementale en passant sous cette dernière un tuyau de débit de fuite. Ce n’est pas moins de 600 m3 qui sont stockés temporairement avant d’être restitué à l’aval régulant ainsi les débits.
Mare tampon de 600 m3 avant traversée sous voirie départementale
Un passage d’eau stratégique maintenu en herbe
le talweg traversant la route départementale et provenant de la commune de Ouainville est un talweg qualifié de primaire du bassin versant de Veulettes. Il a été convenu la signature d’une servitude d’utilité publique pour le maintien en herbe de cet axe de ruissellement stratégique. Il s’agit d’un acte notarié rattaché à la parcelle cadastrale qui permet d’indemniser le maintien durable en herbe avec une engagement ad vitam aeternam des propriétaires et exploitants agricoles. Le linéaire de talweg ainsi protégé est de 800 ml avec une surface de 7 ha. Afin de ne pas bloquer une exploitation qui n’arriverait plus à valoriser l’herbe, il est laissé la possibilité de mettre les parcelles en Taillis Très Courte Rotation de saule, de miscanthus ou encore de boiser les surfaces.
Talweg principal concerné par le maintien en herbe
Objet des travaux
Grandeur
Investissements € HT
Mare tampon
600 m3
6 855
Noue enherbée
4 m de large x 435 ml
4 625
Haies anti-érosives
1320 ml
20 800
Maintien en herbe
7 ha
58 180
TOTAL
90 460 € HT
Tableau récapitulatif des investissements de l’opération
L’ensemble de ces aménagements a été réalisé en fin d’année 2020 et au printemps 2021.
L’Agence de l’Eau Seine Normandie a subventionné l’ensemble des opérations à 80 % du montant hors taxe représentant 72 370 € HT.
Au printemps 2021, c’est une trentaine de projets qui ont été implantés. Le linéaire cumulé atteint 4100 m au bénéfice de 26 exploitations agricoles.
Ces plantations du printemps concernent le Bassin d’Alimentation de Captage d’Héricourt prioritaire Grenelle pour près d’1 kilomètre. Elles concernent également un complément pour la concertation du Mesnil-Tétier sur la commune de Bénesville ou encore 4 projets aux Hauts de Barville pour 335 ml.
Pour cet automne 2021, les prévisions couvrent un linéaire de 5690 ml supplémentaires accompagnés (avec même un report de 1430 ml pour l’année suivante). Ces perspectives de plantation à hauteur de 9,79 km en 2021 dépassent celles réalisées lors de la saison précédente et traduisent un bel effort et engagement des exploitants agricoles du territoire.
Haie anti érosive implantée en 2013 sur Ecretteville-les-Baons
Cependant, la conjoncture nationale actuelle vient bousculer le secteur de la plantation !
En effet, depuis quelques mois, il existe un fort déséquilibre de l’offre de plant et la demande sur la filière, qui tend le marché de la production de plants. Cela tient à 3 facteurs :
A la mesure « Plantons une Haie » du Plan de Relance qui sur la prévoyant en deux ans l’implantation de 7000 km.
A la raréfaction des graines de plants au niveau national mais également au niveau européen suite aux trois années de sécheresse précédant l’actuelle.
A la hausse des prix des matières premières qui implique une hausse des prix sur les fournitures associées aux haies (paillage, gaines, tuteurs, agrafes, …) mais également sur la production des plants par la hausse du prix des carburants.
Dans ce contexte, le cout d’un mètre linéaire de haie a augmenté de 25 % cet automne !
Aussi, afin de limiter les coûts et les impacts sur les projets négociés, le syndicat a travaillé avec l’entreprise titulaire de deux marchés en cours. Le modèle de la haie anti-érosives a été revu : paillage en 1,2 m de large, choix de 5 essences les moins onéreuses (cornouiller sanguin, noisetier, prunelier, bourdaine, hêtre vert), maintien des protections petits gibiers biodégradables.
Exceptionnellement et pour les projets en cours de cette année seulement, c’est le syndicat avec le soutien de l’Agence de l’Eau Seine Normandie qui assumera les surcoûts supplémentaires occasionnés sans les répercuter aux exploitants agricoles pour lesquels ces surcoûts n’avaient pu être anticipé.
Bilan de 10 ans d’Action sur les Haies anti-érosives
Cela fait maintenant 10 ans que le Syndicat Mixte des Bassins Versants de la Durdent, Saint Valery et Veulettes a commencé son programme de plantation de haies anti-érosives.
Le linéaire cumulé atteint 48,4 kilomètres (automne 2021 compris) avec une moyenne sur les trois dernières années de 8,5 km annuel.
Ensemble prévenons le risque d'inondation
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