Vous l’avez peut-être remarqué, mais certains de nos ouvrages sont aujourd’hui pâturés par des moutons, c’est ce qu’on appelle l’éco-pâturage. Cette pratique consiste à avoir recours à des animaux pour entretenir un espace vert. Cela permet de limiter l’utilisation d’engins mécaniques, sources de bruit et consommateurs d’énergie fossile en plus de soutenir une exploitation ovine.
Sur certain de nos ouvrages comme ci-dessous nous combinons pâturage ovin et bovin.
Le fond de vallée est principalement couvert par des zones humides dans lesquelles parfois, l’urbanisation s’est étalée. La majorité de ces espaces naturels est tout de même maintenue en prairies pour profiter pleinement des fonctions d’infiltration d’eau et d’épuration.
Outre la flore et la faune aisément rencontrées et connues de tous, les zones humides accueillent une très grande diversité d’espèces insoupçonnées. Il suffit de regarder de plus près. De loin, les berges de la Durdent et les zones humides attenantes peuvent ressembler à des amas de broussailles et il est facile de penser qu’elles mériteraient un « coup de propre ». Toutefois, cette dense végétation résulte de l’expression spontanée de la flore permise par la gestion différenciée (mettre le lien sur gestion différenciée dirigeant vers la gestion adoptée aux Basses Eaux dans l’article « des linéaires de la durdent et du tourterou restaurés »).
De plus près, ces espaces sont de véritables réservoirs de diversité constitués de nombreuses et magnifiques plantes. Parmi ces dernières, il est possible d’observer le Cirse des marais, la Valériane officinale, l’Iris faux-acore, la Consoude officinale, l’Eupatoire chanvrine, la Menthe aquatique, la Cardère sauvage, certaines Orchidées et bien d’autres.
Ces assemblages floristiques constituent de favorables habitats à une multitude d’espèces animales qui prospèrent en l’absence de destruction et de perturbation de leur refuge. Outre les renards, les chevreuils, les canards et les hérons, les zones humides abritent bien d’autres groupes dont la présence est tout autant essentielle. Nous pouvons lister les chauves-souris, les reptiles tels que les orvets ou les vipères, les amphibiens dont les tritons et les salamandres, les oiseaux d’eau comme par exemple la Rousserole effarvatte et la Bouscarle de Cetti, etc.
De nombreux invertébrés, plus fascinants les uns que les autres, s’épanouissent également dans les zones humides. C’est le cas du Paon du jour, du Lucane Cerf-Volant ou encore de l’Anax empereur.
Dans la Vallée, le site pédagogique des Basses Eaux regroupe un ensemble de zones humides ouvertes au public toute l’année et idéales pour l’observation de la faune et de la flore.
Depuis des dizaines d’années, la tendance à la diminution de la superficie des prairies devient indéniable. En effet, à l’échelle de la région Normandie, on estime qu’entre 2008 et 2019 seulement, la surface de prairies agricoles a diminué de 11 %, soit de 103 000 hectares dont 89 000 au profit des terres arables et le reste en artificialisation des sols (Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, 2021). La Seine-Maritime semble être le département le plus touché par la conversion des prairies entre 2008 et 2020, avec une perte de 24 624 hectares, représentant 17,28 % des herbages. (1 hectare correspond à 10 000 m²).
La transformation de prairies en cultures, appelée retournement d’herbage, s’effectue majoritairement dans les exploitations laitières qui passent de l’élevage à la polyculture élevage ou qui cessent leur activité d’éleveur. Depuis quelques années, les retournements d’herbage sont de plus en plus nombreux et pour cause, les enjeux financiers liés à l’élevage en comparaison aux revenus que rapportent les cultures.
Néanmoins, la perte des prairies est regrettable puisqu’en plus de fournir des denrées alimentaires aux animaux (herbe et fourrage), les pâtures délivrent de nombreux services écosystémiques. En effet, d’une part, le couvert végétal permanent et diversifié assure une forte capacité de rétention, d’infiltration et d’épuration de l’eau, diminuant l’intensité des crues. De plus, les prairies accueillent une certaine biodiversité floristique et aussi faunistique. Les différentes espèces végétales attirent une multitude d’insectes, favorisant ainsi la pollinisation des cultures adjacentes. De même, elles participent à la régulation de climat toute l’année en fixant le CO2 atmosphérique de par le processus de photosynthèse. Enfin, les prairies possèdent de fortes valeurs paysagères, en termes de patrimoine (paysages bocagers) mais aussi d’esthétisme et de bien-être (Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, 2018).
À l’échelle du bassin versant de la Durdent
La modification de l’utilisation du sol n’est pas sans conséquence. En effet, elle engendre un bouleversement de l’écoulement et l’infiltration des eaux de pluie et de ruissellement. Grâce à leur couvert végétal dense et permanent, les herbages présentent une forte capacité d’infiltration de l’eau et de ralentissement des écoulements. À l’opposé, les cultures, dont les systèmes racinaires et les couverts sont limités, engendrent inévitablement une réduction de l’absorption et une accélération des flux d’eau, entrainant ainsi l’érosion du sol et occasionnant des inondations et des coulées de boue souvent conséquentes.
De ce fait, depuis 2015, le SMBV de la Durdent accompagne les exploitants agricoles dans leurs démarches de retournement d’herbage afin d’étudier ensemble les possibilités et les éventuels aménagements à mettre en place pour limiter les pertes de terre liées à l’érosion et prévenir le risque d’inondation. D’après les données obtenues au moyen des formulaires de demande de retournement d’herbage au SMBV, cette année cumule le nombre le plus élevé d’hectares retournés depuis 2015 (359,94 ha sur un territoire en recouvrant 45 000). La justification la plus récurrente demeure la cessation de l’activité laitière.
La Vallée de la Durdent est reconnue comme une grande zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II portant le même nom. Cette zone couvre 7182 hectares et contient plus de 20 ZNIEFF de type I, plus petites et localisées.
Les ZNIEFF ont pour but d’identifier et inventorier la biodiversité sur l’ensemble du territoire national. Il existe deux types de ZNIEFF :
Les ZNIEFF de type I : espaces écologiquement homogènes, définis par la présence d’espèces ou d’habitats remarquables ;
Les ZNIEFF de type II : d’envergure supérieure, ensembles naturels concentrant davantage de biodiversité que les milieux autours (MNH & OFB)
Pour plus d’information, le lien ci-dessous vous donne accès à la page internet de l’INPN à propos de la ZNIEFF de type II La Vallée de la Durdent. Dans l’onglet « Liaison écologique avec d’autres ZNIEFF », vous trouverez les ZNIEFF de type I qu’elle contient.
Parmi ces dernières figurent La Basse Vallée de la Durdent, La Prairie humide du Faucard, La Ripisylve de la Durdent à Cany, La source de la Durdent et la cressonnière, La Vallée du Vert Buisson, La zone humide des deux moulins à Grainville-la-Teinturière, Le bois de la Vallée, Les ballastières de Cany, Le Marais du Hanouard, Les prairies humides de Gréaume, etc…
A Grainville-la-Teinturière, le Bois de la Roquette a été reconnu comme zone spéciale de conservation (ZSC) par arrêté de création du 26 décembre 2008 et s’est alors vu attribué le statut de Site Natura 2000.
Les sites Natura 2000 constituent des outils de la Directive Européenne Habitats Faune Flore et la Directive Oiseaux de 2000. Ces politiques œuvrent pour la protection d’un grand nombre d’espèces et d’habitats dont les noms figurent en annexe des Directives. Le réseau de sites Natura 2000 regroupe plus de 27 000 sites en Europe et plus de 1700 en France en 2017 (OFB).
Le bois de la Roquette s’étend sur 3,54 hectares de forêts caducifoliées et représente un intérêt écologique surtout pour les espèces de chauves-souris qui trouvent refuge dans ses cavités et ses grottes. Les espèces de chiroptères présentes sur le site et inscrites à l’annexe 2 de la Directive Habitats sont : la Barbastelle d’Europe, le Grand et le Petit Rhinolophe, le Grand Murin et le Murin à oreilles échancrées (Muséum National d’Histoire Naturelle, 2023).
Depuis quelques temps, le Chemin des Sources à Héricourt-en-Caux s’altérait petit à petit en raison de l’érosion de la berge rive droite de la Durdent sous l’action du cours d’eau. En effet, une partie du sentier menaçait de s’effondrer, emportant avec lui la clôture qui le bordait.
L’opération consistait en l’abattage de trois arbres, le débroussaillage, le terrassement de la berge en pente douce et la pose d’une clôture en rive gauche, ainsi qu’en la dépose du grillage et la réhabilitation de la berge en rive droite.
La Durdent et le Tourterou, bras de détournement de la Durdent à Grainville-la-Teinturière, ont fait l’objet d’une opération de restauration de berge durant l’année 2022.
En 2021, le SMBV Durdent a recruté une stagiaire, Lou Bodineau, dont le thème portait sur la restauration de berges de la Durdent et du Tourterou sur la commune de Grainville-la-Teinturière. Alors, un dossier réglementaire à été déposé à la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM) afin d’obtenir les autorisations nécessaires à la réalisation du projet de restauration. Ce dernier proposait l’arasement d’un merlon de curage sur la berge rive droite de la Durdent partant du pont d’entrée des Basses Eaux jusqu’à la naissance du Tourterou, 250 mètres en aval, et la réhabilitation de la berge rive droite du Tourterou jusqu’au terrain de pétanque de la commune. Le tout représentait un linéaire d’environ 400 m.
En effet, la première partie du projet avait pour ambition de supprimer le merlon de curage dans le but de permettre la reconnexion de la rivière avec sa plaine inondable attenante et ainsi de profiter des fonctionnalités de la zone humide, notamment en termes d’infiltration de l’eau et de régulation des crues.
Quant à la seconde partie, elle visait à supprimer les embâcles, à entretenir la végétation et à interrompre la succession naturelle de la ripisylve (qui tendait vers une forêt) par sa réouverture afin d’améliorer l’écoulement du ruisseau et de favoriser le retour d’une flore diversifiée.
À la suite des travaux, un sentier pédestre a été aménagé le long du ruisseau. Inauguré en mai 2022, il permet alors la liaison entre le site pédagogique des Basses-Eaux et le centre du village. Des zones de repos équipées de bancs en bois ont été agencées pour profiter d’un moment de calme et de sérénité au bord de l’eau.
Après la reprise de la végétation, une gestion dite différenciée, encourageant la diversité biologique, a été adoptée. Seuls de petits sentiers sont tondus pour permettre la promenade et le reste de l’espace est dédié à l’expression spontanée de la biodiversité.
Le 3 octobre 2023 s’est tenue une formation de l’AREAS dans les locaux su Syndicat. Le thème était l’influence des pratiques culturales sur le ruissellement et des solutions techniques. Deux formateurs étaient présents ainsi qu’une douzaine de participants, conseillers agricoles et membres de bureaux d’études.
Le programme de la matinée en salle abordait les processus érosifs et l’état des sols cultivés. Vous pouvez consulter les deux supports de présentation de l’AREAS utilisés ce jour ici.
Après le déjeuner à la Parenthèse à Cany-Barville, le groupe s’est rendu à l’EARL d’Erneville à Ouainville.
Madame et Monsieur Petit, propriétaires de l’exploitation, ont présenté leur matériel agricole, leur parcellaire, leurs aménagements d’hydraulique douce et leurs bâtiments d’élevage aux participants.
Enfin, après avoir remercié Monsieur et Madame Petit pour les temps consacré et leur agréable visite, le groupe s’est de nouveau dirigé vers le SMBV pour clore cette journée formatrice.
Au total, 37 opérations d’entretien se sont déroulées sur la période 2022-2023. Parmi celles-ci sont comptabilisés 22 curages de bassins, d’ouvrages et de mares, 14 curages et reprofilages de noues et de fossés et différents hydrocurages.
Six alignements d’arbres ont été taillés à Criquetot-sur-Ouville, Doudeville, Envronville, Crasville-la-Mallet et Bosville, ainsi que quatre haies à Seltot (Doudeville), Saint-Vaast-Dieppedalle et Ouville-l’Abbaye. Enfin, six fascines ont été entretenues à Ourville-en-Caux, au Hanouard, à Drosay, Manneville-és-Plains, Autretot et Étoutteville.
Les opérations de curage et de reprofilage ont eu lieu sur plusieurs communes du territoire du SMBV telles que Cany-Barville, Harcanville, Étalleville, Grainville-la-Teinturière, Gerponville, Néville, Veulettes-sur-Mer et bien d’autres.
L’équipe rivière entame cette semaine le deuxième passage d’entretien des ouvrages. Munis d’un tracteur avec un gyrobroyeur orientable, d’un tracteur tondeuse 4×4 et de débroussailleuses, nos agents interviennent sur tous les sites en propriété du Syndicat pour lesquels il n’y a pas de mise à disposition à un exploitant agricole.
Dans le monde, l’un des premiers groupes faunistiques les plus menacés d’extinction constitue la classe des Amphibiens. Selon la liste rouge des espèces menacées de l’Union International pour la Conservation de la Nature (UICN), 41% des espèces d’Amphibiens sont en danger d’extinction dans le monde (The UICN Red List of Threatened Species, 2021) et 8 espèces sur 35 le sont également en France métropolitaine (UICN France, 2015).
Les Amphibiens sont particulièrement touchés par les menaces de disparition en raison de leur dépendance au milieu aquatique pour l’accomplissement de leur cycle de vie et leur conséquente exposition aux pressions de cet environnement, en plus de celles exercées sur le milieu terrestre.
Les causes de leur déclin sont principalement la conversion et destruction d’habitats, le réchauffement climatique, la pollution, les espèces exotiques envahissantes (par exemple le Xénope lisse, Xenopus laevis) et les maladies (par exemple le champignon chytride, Batrachochytrium dendrobatidis).
En Normandie, le Sonneur à ventre jaune est en danger critique d’extinction et le Triton ponctué est en danger d’extinction. Huit autres espèces sont classées vulnérables, dont la Grenouille rousse, le Triton crêté ou encore la Salamandre tacheté. Enfin la Grenouille verte et la Grenouille de Lessona sont presque menacées (Agence Normande de la Biodiversité et du Développement Durable, 2022).
Vous pouvez consulter la Liste Rouge des Amphibiens de Normandie ici.
Aujourd’hui, toutes les espèces d’Amphibiens sont protégées nationalement. Ainsi, l’arrêté du 8 janvier 2021 fixe les interdictions relatives à ces organismes. Par exemple, pour un grand nombre d’Amphibiens cités dans l’article 2, « la destruction ou l’enlèvement des œufs et des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l’enlèvement des animaux » ou la « perturbation intentionnelle des animaux pour autant que la perturbation remette en cause le bon accomplissement des cycles biologiques » sont interdits (Légifrance, 2021). Ces actions sont passibles de 3 ans d’emprisonnement et de 150 000 € d’amende.
En raison des menaces qui pèsent sur les Amphibiens, de plus en plus d’actions en faveur de leur protection et de celle de leurs habitats sont menées. Parmi celles-ci figurent l’amélioration des trames bleues, la création ou la restauration de mares ou encore la mise en place de batrachoducs (aménagements pour permettre la traversée d’axes routiers).
En raison de l’accroissement de l’urbanisation, de l’artificialisation des sols et de l’intensification des pratiques agricoles, de nombreux espaces naturels et habitats pour la faune et la flore sont réduits, fragmentés ou même détruits. De ce fait, le déplacement des espèces, vital pour leur recherche de nourriture, leur mode de vie et leur reproduction, devient de plus en plus difficile à travers des matrices artificielles. De plus, du fait du changement climatique, de nombreux groupes floristiques et faunistiques tendent à migrer vers le nord pour se maintenir et s’adapter au climat. Dans le contexte actuel de l’érosion de la biodiversité, d’avantage d’espèces animales et végétales sont amenées à s’éteindre si aucune action n’est réalisée pour favoriser leurs mouvements.
Alors, la politique Trame verte et bleue, instaurée à la suite de la mise en place du Grenelle de l’Environnement en 2009, constituent un outil fondamental à la reconquête de la biodiversité en optimisant les déplacements des espèces. Les trames désignent des continuités écologiques aussi appelées corridors écologiques qui relient des réservoirs de biodiversité entre eux. La trame verte concerne les espaces terrestres et la trame bleue est relative aux milieux aquatiques. Moins populaires et pourtant tout autant essentielles, les trames brunes (ou marrons) et les trames noires se rapportent respectivement aux continuités du sol et à celles de l’obscurité.
Par conséquent, depuis la mise en œuvre de cette politique, les collectivités (régions, départements, intercommunalités…) ont pour mission d’identifier et de recenser les continuités écologiques de leur territoire afin d’établir un programme visant à les améliorer et à en créer davantage pour augmenter les déplacements des espèces ainsi que leurs chances d’adaptation et de migration face aux effets du dérèglement climatique. Par exemple, la plantation de haies ou la création de réseaux de mares, contribuent à cet objectif.
A l’instar des trames vertes et bleues bien intégrées dans les politiques et les documents d’urbanisme, la création d’une trame noire est encouragée dans les milieux urbanisés afin de diminuer l’incidence des éclairages publics et privés sur les espèces telles que les hétérocères (papillons de nuit), les lucioles, les chauves-souris et autres mammifères.
Définie par une certaine obscurité, la trame noire a pour objectif de permettre les déplacements des espèces nocturnes et ainsi d’optimiser la chasse, la reproduction et le brassage génétique entre les populations, indispensables à leur survie.
En France aujourd’hui, plusieurs territoires travaillent à l’élaboration de cette trame noire dont par exemple les Métropoles de Lille, Limoges, Bordeaux, Nantes, Rennes mais aussi les Parcs Nationaux des Cévennes, du Mercantour, des Pyrénées ou encore de Port-Cros (Office Français de la Biodiversité, 2021).
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